C'est beau la détresse.
Par Vincent le dimanche 30 mai 2004, 19:04 - OSEF - Lien permanent
Voici ce que j'écrivais dans un autre endroit bien à moi :
en plus, je suis fauché... appel à toutes les âmes généreuses patron d'une boîte :
employez-moi, vous ne le regretterez pas. je travaillerai comme un damné, comme si j'étais le dernier survivant de cette planète. je vous promets un chiffre d'affaire multiplié par, disons... 5 ! des femmes, des voitures de sport qui font vroum vroum très fort, la gloire sans la start ac', nickos dans votre lit et un jolie sourire plein de compation de ma charmante personne. tout cela pour un malheureux chèque à chaque fin de mois (ou de début, je ne suis pas comme ça).
Et pour conclure :
alors toi, futur patron adoré de mon coeur pour toujours, léves toi et refuses avec moi la fatalité qui me tiraille.
Remarquez le style tout sans majuscule admirable.