Communism Is (not) Dead

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OSEF

On s'en fout.

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dimanche 19 juillet 2009

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Bip bip bip

lundi 27 octobre 2008

Changement d'avis.

Moi qui pensait naïvement maîtriser un minimum les jeux vidéo de football, j'avais tout faux... Je suis devenu une buse du paddle (c'était peu être vrai avant), un client du six à zéro honorable.

Mais j'ai des excuses.

Premièrement, PES n'est plus le standard, c'est une évidence, un fait.

Ensuite, Electronic Arts, après dix ans de R&D intensif, vient de sortir de leur studio de développement canadien non pas Le jeux de foot ultime, puisque Le vrai jeux de foot ultime existe déjà, mais un bon jeux vidéo de foot pour ceux qui aiment le foot. On a failli attendre.

Certains diront que la comparaison sera superflu, voir inappropriée. Mais pour un converti de la première heure aux ficelles de jeux introduites par Konami en l'espace d'une décennie, c'est dur, très dur. Les boutons pour déclencher telles ou telles actions sont aux mauvais endroits et mes petits défenseurs ne savent plus défendre. Je retrouve, tout de même, dans FIFA quelques touches inspirées directement de son concurrent. De bon trucs comme les courses des joueurs, les contrôles orientés, les feintes et encore pleins de petits trucs qui font plaisir à voir et que je voulais voir. D'autres moins, comme cette balle qui flotte lors des tirs au buts, un peu comme dans l'édition 98 si je me souviens bien, et un rythme de jeux encore trop soutenu à mon sens.

Bref, a moins qu'un directeur marketing de chez EA n'y connaissant strictement rien au jeux vidéos fasse un caca et vire toute l'équipe qui a conçu cette itération, je vois mal Konami arriver l'an prochain avec un produit du même acabit. C'est triste, mais c'est comme ça la vie.

mercredi 15 octobre 2008

On déménage ! (Ah zut, c'est déjà fait).

Trois ans, ça passe vite dites donc... Trois ans d'hébergement gratuit chez machin & machin... C'était cool, merci les gars !

Donc déménagement. Et puisqu'il faut payer (ce n'est pas une fatalité), autant payer pour quelque chose de fun genre la nouvelle offre de Gandi. Ça tombe quand même bien. À croire que c'était écrit, qu'une force supérieure manipule les voies qui m'ont guidé jusqu'à ce point.

Bref, le bon Dieu a beau être ce qu'il est, ce n'est pas lui qui taille le serveur qui diffuse ces quelques mots. Et un serveur, c'est du travaille voir du tracas.

Je n'ai pas testé leur (à Gandi) bidule AI truc. Pas besoin ou pas envie me disais je. Donc passage directement par la case SSH, je ne gagne pas grand grand chose à part quelques nuits de sommeil raccourcies. En revanche, la gestion du DNS est bien faites (c'est leur métier d'origine quand même) ainsi que l'interface de contrôle des serveurs (ou parts, car ici, on loue de la ressource, du cloud computing comme ils disent). On retrouve facilement ces petits : c'est clair, sobre, précis, simple, les options qu'il faut là où il le faut, sans chichi inutile.

Voilà, pas de changement fondamental, pas d'itération 2.null. Juste un blog de plus.

lundi 22 septembre 2008

Élevé aux jeux vidéo.

Durant une année de ma vie, j'ai eu 13 ans et je n'avais toujours pas de quoi m'amuser électroniquement. C'était donc chez Nicolas, qui lui était équipé, que nous dépensions nos après midi de libres devant télévision raccordée ou moniteur qui pique les yeux, le paddle à la main, le cœur dans les étoiles du hight score.

En 1990, des Thunderforce 3 ou autres Gynoug n'étaient pas encore sortit. Peut importe, Megaman faisait bien l'affaire. (Je suis à un doigt du c'était mieux avant là.)

En 2008, à 13 ans, on crame des voitures de la main droite et on joue à GTA IV de la gauche. Moi aussi, à 31 ans, je joue à GTA IV. En revanche, un peu comme les films pornographiques, j'ai le droit, je suis majeur. C'est quand même bien d'être majeur, non ? D'autres soulignent bien mieux ces remarques en leurs lieux que je ne pourrai espérer le faire en ces lignes.

Ce qui me turlupine est que je n'ai pas encore eu l'occasion, lors d'une de mes aventures en compagnie de Niko Bellic, de lui faire prendre un seau rempli d'essence, puis arroser une voiture de cette même essence et d'y mettre le feu. J'ai sans doute loupé une scène de règlement de comptes ou, dans ma grande nullité, ne suis pas encore aller assez loin dans l'histoire de ce jeux.

L'amateurisme de nos parents dans le domaine du jeux vidéos n'est plus à prouver. Regardant d'un coin de l'œil ce média où l'on prend le contrôle du poste de télévision. Trouvant étrange que l'on puisse s'agiter devant un tube cathodique. Bref, je me répète sans doute, mais devant un jeux vidéo, nous ne sommes pas devant un programme publicitaire de télévision. Ça doit peut être faire grincer des dents.

En attendant que la tendance s'inverse dans un futur bien proche, il n'est pas étonnant alors de voir des millions de jeunes, ou moins jeunes, se précipiter devant les stores des magasins à l'annonce d'un titre qui ne prend pas son public pour un ramassis de cochons prêt à becter n'importe quelles merdes télévisuelles, genre séries policières diffusées un an en retard, dans l'ordre aléatoire des compétences des directeurs des programmes qui, eux aussi, nous considèrent comme une bande de ploucs attardés. Pas la peine de verser une larme, la télévision que nous connaissons actuellement mérite de mourir et c'est bien fait pour sa gueule.

Hors de contrôle, démunie de toutes interactivités, c'était malheureusement écrit. La télévision pêche, non pas par ses excès, mais par la manière dont elle fut dessinée. Incapable de prendre un virage pourtant bien amorcé, mollement disposée au centre de nos familles, cet objet, une fois mis sous tension et connecté, n'anime rien d'autre que l'intellect des animateurs de débats chiants comme la lune. Étonnant que cela dure depuis plus de 50 ans, le tout sans joystick, ni clavier et encore moins de souris. Comme le dit si bien mon amis Piotr, l'inertie de tout corps en mouvement veux que nous luttions pour conserver un acquis qui nous a depuis le début échappé. Alors, on râle sur le reflet de notre nullités à éduquer des gamins de 13 ans.

Mais j'exagère. Il existe ici où là quelques perles, quelques émissions qui me font croire que les gens de talent pourront à l'avenir changer de support, émettre à la vitesse maximale, au cœur d'une fibre optique, leurs lumineuses découvertes. À nous d'ajuster nos filtres chromatique.

jeudi 29 mai 2008

Un an de plus.

Voici maintenant plus d'une année que je laisse ce carnet prendre l'air. C'est assez sympa je trouve, surtout que c'est gratos (pour l'instant).

Entre temps, j'ai déménagé, j'exerce le métier qui me plaît et j'ai changé de lunettes. Rien de bien grâve donc.

jeudi 8 mars 2007

Violence.

Se faire insulter de con, pour ensuite se faire demander de Laisser tomber, comme ça, un jeudi matin au travail, fait toujours plaisir...

Encore une personne sur ma liste des personnes qui n'existent plus...

samedi 24 février 2007

FOSDEM, second look.

Dans le monde du logiciel libre, il existe des Gourous, des mecs super celebres au poils lisse et brillant. J en ai rencontrer quelques uns aujourd hui...

Sinon, ca jacte toujours en english au divers accents et le clavier est toujours aussi etrange.

One beer please !

vendredi 23 février 2007

FOSDEM, first look !

Bien arriver a Bruxelles, stop, ca jacte en english, stop, attend Piotr et les copains en compagnie d un clavier a moitier qwerty, STOP.

jeudi 22 février 2007

Rien à foutre...

C'est un peu me moquer de toi lecteur... Mais je m'en moque de tout casser (en fait, c'est que je suis trop paresseux).

Nouveaux style aussi ; un brin minimale. Mais je m'en moque.

On n'est pas au pays des fleurs et des fanfreluches ici... Pas de cadenas en forme de cœur, pas de ronds au dessus des i. Juste un weblog tout simple. De toute façon, je vous invite à me lire dans vos lecteurs de flux préférés.

Gni !

Lire la suite...

mercredi 27 septembre 2006

Quand je serai grand...

  • J'aurai une maison, des enfants et un travail. Je pourrai payer des impôts et mes crédits, surtout pour la voiture dont je rêvais.
  • Mes voisins me considèreront comme l'un des leurs, puisque j'aurai une maison, des enfants et surtout un travail.
  • Je ne me poserai plus ces questions d'adolescents, j'y aurai bien sûr répondu et ne verrai plus de raisons sérieuses à y répondre. Tout deviendra clair.
  • Je n'attendrai plus pour prendre des décisions importantes, je saurai que je suis capable de les assumer.
  • L'échec ne me fera plus peur.
  • Mes ambitions seront bien déterminées, je ne serai pas à un ami près.
  • J'aurai beaucoup d'amis.
  • Je courrai après les responsabilités, j'aimerai décider et faire en sorte que l'ordre soit.
  • Je n'aurai pas le temps.
  • Je ne voudrai pas faire d'effort.
  • J'irai rendre visite à ma Mère et mon Père à l'hospice, l'esprit serein.
  • Je ne voudrai toujours pas les voir mourir.
  • Je ne voudrai toujours pas mourir.
  • J'irai rendre visite aux pays que je n'ai pas encore rencontrer.
  • J'ouvrirai des portes et en refermerai d'autres.
  • Ma vie sera sans doute comme celle d'un autre, de mon voisin, de la tienne.
  • Notre monde sera enfin le notre.
  • Nous y ferons ce que nous pensons juste.
  • Je bâtirai des usines, des banques, des assurances, des autoroutes, des prisons pour mineurs, des maisons de retraites, des déchèteries, des HLM, des plateformes pétrolières, des hôtels sur les plages de Normandie, d'innombrables choses pour mon confort et me préserver de l'effort.
  • Je gâcherai tout sans compter.
  • J'aurai des regrets. D'être parti sans rien dire, de ne pas avoir appeler, d'être tomber amoureux des mauvaises personnes, de m'être fait prendre pour un con, de faire encore des conneries et, parfois, d'être moi.
  • Je serai enfin un adulte.

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