J'en avais un peu écrit sur le sujet et je cherchais encore à virer Vindows (oui, oui, prononcez vindose.) et former ma petite soeur à Linux.

Bref.

Il ne suffit pas de clamer à qui veut l'entendre que Linux ceci, bla bla bla... sans néanmoins passer à l'action, ne serait ce qu'une seule fois dans sa vie. Belle doctrine, belle aventure numérique que voilà.

J'insère donc avec détermination un CD Live de la distribution Gentoo dans la bête de course (pour mémoire et pour les paresseux qui n'ont pas cliqué sur le lien, c'est un vieux PC à base de k6 moulinant à 200 Mhz, de chipset ALi, de carte son soldat disparu et de disque dur de seulement 1.7 Go) prêt à relever le défit, comme les manches d'ailleurs. Pas de problème, tout ce déroula bien jusqu'au fameux chroot de la mort qui me retourna un fameux Segmentation fault. Je garde la tête haute, les reins solides, Peut-être qu'une Ubuntu fera l'affaire..

Justement, je venais de découvrir un truc sympa via le site de Debian que je m'empressais d'essayer. Résultat nul, Ubuntu n'est pas pour moi et, à la réflexion, ne le sera jamais. Je change de fusil d'épaule, je lis un peu de documentation sur apt-get, je choisis un miroir, je laisse télécharger durant la nuit... Demain, Debian montrera sa supériorité devant une foule médusée par tant de compatibilité.

Et c'est vrai.

Seulement voilà, j'aimerai un noyau compilé par mes soins histoire de virer tout ces modules inutiles qui se chargent au démarrage remplissant une mémoire vive de capacité non infinie et de faire fonctionner une carte son dont je ne connais pas le nom. Mais impossible de décompresser les sources de ce foutu noyau. Je ne baisse pourtant pas les bras, ma petite soeur aura un ordinateur, certes vieux et lent, fonctionnel et répondant à ses demandes. Tout aussi bien que Vindows.

Edit de fin de journée : la partition principale se défile en flux continu d'inodes lâches... Et merde !