Communism Is (not) Dead

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jeudi 22 février 2007

Rien à foutre...

C'est un peu me moquer de toi lecteur... Mais je m'en moque de tout casser (en fait, c'est que je suis trop paresseux).

Nouveaux style aussi ; un brin minimale. Mais je m'en moque.

On n'est pas au pays des fleurs et des fanfreluches ici... Pas de cadenas en forme de cœur, pas de ronds au dessus des i. Juste un weblog tout simple. De toute façon, je vous invite à me lire dans vos lecteurs de flux préférés.

Gni !

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mercredi 27 septembre 2006

Quand je serai grand...

  • J'aurai une maison, des enfants et un travail. Je pourrai payer des impôts et mes crédits, surtout pour la voiture dont je rêvais.
  • Mes voisins me considèreront comme l'un des leurs, puisque j'aurai une maison, des enfants et surtout un travail.
  • Je ne me poserai plus ces questions d'adolescents, j'y aurai bien sûr répondu et ne verrai plus de raisons sérieuses à y répondre. Tout deviendra clair.
  • Je n'attendrai plus pour prendre des décisions importantes, je saurai que je suis capable de les assumer.
  • L'échec ne me fera plus peur.
  • Mes ambitions seront bien déterminées, je ne serai pas à un ami près.
  • J'aurai beaucoup d'amis.
  • Je courrai après les responsabilités, j'aimerai décider et faire en sorte que l'ordre soit.
  • Je n'aurai pas le temps.
  • Je ne voudrai pas faire d'effort.
  • J'irai rendre visite à ma Mère et mon Père à l'hospice, l'esprit serein.
  • Je ne voudrai toujours pas les voir mourir.
  • Je ne voudrai toujours pas mourir.
  • J'irai rendre visite aux pays que je n'ai pas encore rencontrer.
  • J'ouvrirai des portes et en refermerai d'autres.
  • Ma vie sera sans doute comme celle d'un autre, de mon voisin, de la tienne.
  • Notre monde sera enfin le notre.
  • Nous y ferons ce que nous pensons juste.
  • Je bâtirai des usines, des banques, des assurances, des autoroutes, des prisons pour mineurs, des maisons de retraites, des déchèteries, des HLM, des plateformes pétrolières, des hôtels sur les plages de Normandie, d'innombrables choses pour mon confort et me préserver de l'effort.
  • Je gâcherai tout sans compter.
  • J'aurai des regrets. D'être parti sans rien dire, de ne pas avoir appeler, d'être tomber amoureux des mauvaises personnes, de m'être fait prendre pour un con, de faire encore des conneries et, parfois, d'être moi.
  • Je serai enfin un adulte.

jeudi 21 septembre 2006

Plan de carrière.

Je viens de décorcher un job. Un peu à l'arrache, je dois bien l'avouer. L'entretien fut expéditif et du genre Je me retrouve en face de sept personnes responsables. Impressionnant.

Il y aura une écoles, des instituteurs et des ordinateurs... Ça ne doit pas être trop mal, non ?

mercredi 20 septembre 2006

Retour.

Je n'oublierai pas ce retour, magnifique, triste, joyeux. Un goût amère dans la bouche, le cœur serrer de vous quitter, le regret de m'être plonger dans vos yeux aussi vite et de plus partager nos labeurs. Est ce ainsi que l'on touche quelque chose que l'on ne veux pas qu'il cesse ?

Bleu, la couleur que je donnerai à mon séjour.

Les images viendront par la suite, juste quelques secondes, rien de plus ne nous suivra. J'espère que le reste frappera à nos porte alors qu'elles se ferment sur un espace dont le temps est son bourreau. Saloperie de temps, tu ne devrais exister pour les âmes qui se rencontrent à l'abris du soleil et des vallées.

Merci Camarades, faites que nous nous rencontrons bientôt.

Voilà, un univers prend fin, je m'en retourne chez moi. D'autres projets prennent forme, je ferai mon travail pour qu'ils aboutissent. Et ça colle une sacrée trouille !

vendredi 28 juillet 2006

Anticonstitutionnellement.

Et tout le monde en prend pour son grade. Normal pour une loi écrite au coin d'un zinc avec nos potes des multinationales décoré(e)s qui méritent forcement nos chers acclamations[1].

Avec tout ça, ils vont bien faire dire à la télévision que c'est une parfaite réussite et que tout le monde est content.

Chapeau Messieurs !

Notes

[1] Ça rime avec biftons, non ?

vendredi 7 juillet 2006

J'y repartirai demain.

Et j'en reviens juste...

Piqûre annuelle de rappel presque obligatoire pour tout bon libriste qui se respecte, j'ai pu assister à plusieurs conférences de bonne qualité et qui me (ré)conforte dans mes idées (vu que, dans cet endroit, nous avons tous les (à peux près) même). Je suis donc passé par Les Logiciels Libres dans les associations, Jabber et L'industrialisation de la qualité web. Je n'ai pas appris beaucoup de choses par rapport à l'an dernier, mais ça fait toujours plaisir de se l'entendre dire ; j'adore quand on me carresse dans le sens du poil.

En fin de session, j'ai eu le plaisir de converser avec François Palaci, associé Temesis. J'avouerai, plus tard et sous la torture, qu'une petite goûte de sueur perla sur mon front avant de poser mes questions mais une fois dans l'eau, comme on dit, Elle est bonne....

Bref, j'y retourne demain parce que C'est bien (et puis il y aura Tristan Nitot).

vendredi 30 juin 2006

Merci maman, merci papa.

Un extrait ?

Les hommes naissent libres et égaux
En droit, mais ça dépend du lieu
Soit t’es OK, soit t’es KO
Soit tu meurs bien, soit tu l’vis mieux...
C’est bien !
C’est bien la raison du plus fort
Encore et toujours la meilleure
C’est rien, la raison du plus mort
Ca donne raison aux dictateurs
C’est rien...

C’est comme ça et pas autrement
Merci papa, merci maman
Des millions d’gosses mangent de la viande
Juste quand ils se mordent la langue...
C’est bien, c’est rien...

Merci maman, merci papa par Agnès Bihl

Pour le reste, c'est par là que cela ce passe...

Des paroles qui font mouche suite à une de nos interminables discussions avec Maud. Des idées qui montent...

Mais on s'en fout !

C'est parti, et tout le monde s'en fout... Coup d'éclat dans l'agonie du marché de la culture qui, comme tout le monde le sait, est un modèle admirable de bon sens et de réussite planétaire. Mais tout le monde s'en fout, en vacance, la boite de crédit et ses charognards payés à la commission au cul.

L'informatique, ce n'était pas pour nous. La culture non plus.

Les salles de concert n'existent plus dans le monde parfait à porter de cliques publicitaires détenteurs des grandes et grasses plates formes d'information numérique. Trop vieux, trop nul, ne répondant à aucun des modèles logiques imprimés à coup d'école d'ingénieur, le monde culturel que nous connaissons, les communications d'échanges, les protocoles, s'arrachent à prix d'or sous le soleil des conseils d'administration ne sachant plus où investir pour sauver la barraque.

Tout le monde s'en fout, comme d'être blacklister pornographe dans un sytème de protection de merde parce qu'on publie une photographie de nu et de dos. Mais on s'en fout, même moi qui lache l'affaire. On n'est pas à un visiteur près à Communism Is (not) Dead.

Voilà l'Eldorado qui n'existe pas, virtuel, télévisuel.

mardi 27 juin 2006

Le 27 juin 2006 sera bien.

Aujourd'hui devrait sortir la première béta public de Dotclear 2 (le retour !). Pour avoir, un peu, tester l'engin chez Gandi et foutu en l'air comme une tanche (j'assume, comme le football d'ailleurs) les réglages des serveurs de noms pour mon domaine, je peux avouer sans grande torture que Dotclear 2, c'est bien.

Enfin, c'est bien, mais il manque et je pense qu'il manquera deux trois trucs qui commencent à devenir indispensable dans un système de publication de journal, comme la possibilité de mettre en ligne des pages statiques (disponible certainement dans la version stable) ou encore les catégories multiples soigneusement remplacées par un système de mots clés (gni). Ces oublis seront vite pardonnés tant les des possibilités actuelles restent vraiment bien vu et de qualité ; la gestion des médias en est un bon exemple (et encore d'autres choses, mais c'est la surprise).

M'étant abandonner aux joies des notice (arghhhh !) dans Wordpress dernièrement, je ne peux qu'être impatient de consulter le source du nouveau Dotclear et de les déployer comme moteur de ces pages.

Olivier, le papa de Dotclear, et l'équipe constituée autour de lui, dessinent là une oeuvre de pointilliste moderne, par petites touches de couleurs, de fonctions, aussi bien visible de loin que lisible de près, dévoilant déjà le meilleurs moteur de carnets d'aujourd'hui.

mercredi 21 juin 2006

Un de plus dans les statistiques nationales.

Fin juillet, libre de toute attache, me voilà donc à la recherche d'un emploi. Je m'étais refusé de faire ça... Mais bon, c'est mon journal, c'est ma vie, j'y fait au moins ce que je veux.

Va falloir que je remette à jour mon visa pour l'embauche. Ça faisait longtemps tiens !

La bonne nouvelle, c'est que j'ai envie de te recontrer, toi, mon peut être futur patron qui me lit en secret. Nous parlerons de ta boite, de tes besoins, de mes perspectives, de mes compétences. Si nous avons de la chance, des affinités, nous divergerons vers les logiciels libres, Linux, Stallman, tout ça (faudra une sacrée dose de chance, je sais)... J'essayerai par divers moyens de te rassurer et de te convaincre que je suis la bonne personne, le mec qu'il te faut dans ton équipe. À la fin de notre entrevue, comme tout se sera bien passé, nous aurons l'occasion de parler un peu d'argent, cette chose qui fait vivre les supermarchés, et de nous donner un autre rendez-vous. Ainsi, tes besoins deviendrons mon verre vide à remplir, ta boite une passion commune, mes perspectives un fait concret, mes compétences l'engrenage d'une horloge, la tienne.

Un monde merveilleux, nous construirons...

Dans le monde réel, je cède, tout de fois, à la panique.

Aller Messieurs, on arrête de rigoler. Du chiffre, du chifre !

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